Ne vous inquiétez de rien, mais en toutes choses présentez à Dieu vos demandes par des prières et des supplications accompagnées d’actions de grâces.
Philippiens 4.6
Version Grande Bible de Tours
Supplications et actions de grâce
Voilà depuis deux jours, malgré mes encouragements à garder la foi et la confiance en Dieu, j’ai aujourd’hui particulièrement été secoué dans ma foi.
J’ai eu beau, me répéter les promesses de l’Éternel que j’ai reçu et que j’ai partagé avec des amis et proches, l’une des flèches de l’ennemi a réussi à passer par-delà le bouclier.
En écrivant ces mots, je reçois ces paroles :
1 Corinthiens 10.12
C’est pourquoi, que celui qui pense être debout prenne garde qu’il ne tombe.
Version Lausanne
Ici figure une mise en garde que j’adressais ce samedi même à mon amie et que je dois maintenant comprendre que tout ce qui m’est donné par le Créateur comme message, n’est pas que pour raffermir la foi des autres, mais s’applique aussi pour moi.
Le deuxième texte, en parlant de foi, est celui où l’apôtre nous dit ceci :
Éphésiens 6.16
Par-dessus tout, prenez le bouclier de la foi, avec lequel vous pourrez éteindre les traits enflammés du malin.
Version Oltramare
Durant ces deux jours, je n’ai cessé de recevoir des encouragements à tenir ferme, ne pas abandonner la route et de laisser Dieu agir, il est un fait qui est non négligeable, c’est que l’homme, a ses faiblesses et se lasse de la situation et veux reprendre la main.
Mais, même dans ces moments, Dieu sollicite toujours un de Ses serviteurs pour vous remonter le moral et vous rappeler que la route n’est pas facile.
Je regardais d’ailleurs le témoignage de ma nièce qui disait ceci :
Être enfant de Dieu, c’est savoir que le mal existe et que le malheur peut t’atteindre. Mais avoir Dieu à ses côtés, c’est avoir un repère dans la galère.
Merci, ma chérie, pour ce témoignage qui arrive à point nommé.
Je disais ci-dessus que d’une part, j’étais dans un moment de faiblesse parce que l’une des flèches de l’ennemi avait réussi à passer par-dessus mon bouclier dans un court instant de manque de foi.
Ne nous arrive-t-il pas, malgré notre confiance en les bontés divines, de douter de Son Amour pour nous ?
Et quand le doute arrive, ne nous arrive-t-il pas également de nous inquiéter de ce qui va nous arriver ?
L’apôtre dans son épitre aux philippiens nous donne des recommandations qui doivent nous permettre de vite revigorer nos forces, et redonner à Dieu les clés afin qu’Il nous aide à vaincre l’ennemi. Il dit :
Philippiens 4.6,7
Ne vous inquiétez de rien ; mais en toute circonstance, par la prière et la supplication accompagnée d’actions de grâces, présentez vos demandes à Dieu.
Et la paix de Dieu qui dépasse toute conception qu’on peut s’en faire, gardera vos cœurs et vos pensées dans le Christ Jésus.
Version Amiot & Tamisier
La première chose que l’apôtre nous demande de mettre en pratique, c’est de ne point nous inquiéter. Ensuite, quand nous ne nous inquiétons plus, en d’autre terme, quand nous remettons notre espérance en Dieu, Il nous invite à présenter des prières, des supplications accompagnées d’actions de grâces.
Si l’on doit ordonnancer ces recommandations, on à :
- Se défaire de l’inquiétude
- Prier
- Présenter à Dieu nos demandes avec des actions de grâces
Non seulement Il m’a rappelé ces paroles, mais il m’a aussi transmis ces messages :
- Je ne vais pas te décevoir
- Je vais pourvoir à tes besoins
- Je vais te donner le repos
- Je vais renouveler tes forces
- Je suis avec Toi
- Je t’aime
Les quatre promesses reçues sont des actions à venir, dans un futur, qu’il soit éloigné ou proche, mais les deux dernières promesses sont au présent.
Il est avec Moi, Il m’aime.
Ces promesses permettent au plus découragé, en l’occurrence, moi de focaliser son regard sur Celui qui est avec Moi et qui m’aime : Jésus
c’est ce à quoi nous appelle l’apôtre quand il nous indique que la Paix de Dieu, gardera nos cœurs et nos pensées dans Le Seigneur Jésus.
J’ai eu hier cette confirmation, qu’Il est avec moi, même dans les moments où les flèches enflammées de l’ennemi s’abattent contre moi.
À cela, on peut rajouter cette nouvelle promesse :
