Pour Azazel ou pour l’Éternel

Voilà bien depuis trois jours que nous parlons de ce symbole du bouc utilisé par certains artistes ou encore des adeptes du hard rock ou parfois même des personnalités du monde politique et religieux.

Mais que peuvent bien représenter ces signes et peut-on savoir ce que représente à certains moments le geste fait de la main illustrant deux cornes et de temps en temps pour d’autres un triangle rappelant une pyramide.

Juste pour rappel et surtout pour comprendre ce qui se déroule sous nos yeux, lors de la première cérémonie protocolaire d’intronisation du Président de la République, ce protocole se déroulait devant la pyramide du Louvre.

C’est probablement la seule et dernière fois que j’écrirais sur ce sujet, ne voulant point détourner l’attention et l’importance du message du Messie pour le porter sur l’autre. Ce serait, à mon sens encore une fois, lui donner trop d’importance.

Mais si l’Esprit me permet d’en parler, c’est pour que nous puissions vous et moi avoir la connaissance des œuvres des ténèbres qui se déroule dans notre quotidien.

Sans pour autant entrer dans la mouvance conspirationniste, la Pyramide est le symbole spirituel le plus puissant. Elle laisse à penser pour certains spécialistes à l’élévation spirituelle, le passage de l’état humain à l’état divin, le lien entre le monde de l’esprit. C’est d’ailleurs en ce sens qu’elle est le symbole puissant de la société maçonnique.

Pour ce qui est du bouc et de sa symbolique, si on ne trouve pas dans les écritures d’informations ou de relation concernant les pyramides, on parle dans le livre des Lévitiques des boucs. Il est ainsi dit dans le cadre des rites sacrificiels :

On parle ici de tirage au sort sur deux boucs, un pour Dieu et l’autre pour Azazel. Il est indiqué au verset suivant que celui qui était désigné pour l’Éternel devait servir d’expiation pour le péché.

Le texte de cette version de la bible parle de sacrifice pour le péché. On peut faire la relation avec le sacrifice du Messie sur la Croix qui pardonne le péché du monde.

Ainsi cela nous est confirmé dans l’épitre de Paul aux Hébreux quand il dit :

Nous pouvons comprendre que Jésus représente le bouc sur lequel est tombé le sort pour l’Éternel.

Les commentaires bibliques nous indiquent que Azazel désignerait le mauvais esprit comme exilé de l’habitation de l’Éternel, relégué bien loin et tenu à l’écart de son peuple saint. Il est dit dans le livre de Deutéronome :

Ce que l’on nous laisse entendre, c’est que le sort pour Azazel, correspondait à l’adoration faite à d’autre divinité que l’Éternel et que les sacrifices offerts aux démons ne pouvaient rester en présence de Dieu et ils devaient être envoyés dans le désert loin de Dieu à Azazel.

On aurait pu se dire, que le bouc choisi par ces personne peut très bien être celui qui a été choisi pour expier les péchés des hommes. Mais dans la relation, il est difficile de croire que des satanistes, qui revendique leur affiliation à Satan, puisse représenter le bouc émissaire qui enlève le péché du monde. Le seul à qui est attribuée cette responsabilité dans les écritures est Jésus, Le Messie, Le Sauveur du Monde, qui a vaincu Satan et le séjour des morts, comme le dit, Jésus dans le  livre de l’Apocalypse :

Avec tous les bouleversements qui se produisent autour de nous, nous avons de nouveau un choix quant à l’expiation que nous choisissons. Soit le bouc pour l’Éternel par Jésus, soit le bouc pour Azazel, Le Satan qui lui a été chassé de la présence de Dieu.

Jésus, non seulement a vaincu la mort et le séjour des morts, portant notre faute, notre péché, mais il est ressuscité et a été élevé à la droite du Père et ayant reçu domination sur les êtres célestes et terrestres.