Il a porté lui-même nos péchés dans son corps sur le gibet, afin que, morts à nos péchés, nous vivions pour la justice. Par ses meurtrissures vous avez été guéris.
1 Pierre 2.24
Version Amiot & Tamisier
Guéri grâce à Lui
Nous avons déjà évoqué le sujet de la guérison et nous en étions arrivés à dire que si le médecin nous donnait les médications pour apporter une correction à notre état de santé, il ne pouvait aucunement être celui qui nous guéri.
La première raison à mon sens, c’est que Quel que puisse être l’ordonnance pour notre maladie, si nous ne prenons pas l’initiative d’une part de nous rendre à la pharmacie, nous ne pourrons avoir cette liste de médicaments pour nous soigner.
L’autre réflexion que j’ai eu, c’est que les habitants de la terre qui sont coupés de système de santé comme le nôtre, arrivent à guérir sans ces dits médicaments.
Nous avons, dans notre pharmacopée, ce qui est nécessaire pour nous soigner, quoiqu’en disent les dirigeants et chef de gouvernement.
Mais si nous avons avec notre pharmacopée ou nos médecins des solutions, nous devons y mettre notre foi et notre confiance dans leurs prescriptions.
J’ai personnellement, il y a de cela plus d’une semaine, traiter un problème de santé tant par la connaissance traditionnelle que par la connaissance médicale. J’ai compris que l’une où l’autre des méthodes de soins ne devait être réalisé sans que Mon Seigneur et Mon Dieu ne soient associés.
Aujourd’hui, ayant encore quelques symptômes, j’avance par la foi en Jéhovah-Rapha, Dieu qui guérit.
Quelle place donnons-nous à Dieu dans nos guérisons ou maladies ?
Pensons-nous à faire de Lui notre guérisseur ?
Dans les écrits de l’épitre de Pierre, il nous est dit ce qui suit :
1 Pierre 2.24
Lui qui a porté nos péchés en son corps sur le bois, afin qu’étant morts au péché, nous vivions dans la justice de la foi, par les meurtrissures duquel même vous avez été rétablis.
Version Macharia
L’apôtre Pierre nous indique qu’une fois que nous avons accepté de mourir avec Le Messie, notre guérison est acquise aussi par Lui.
Hier, dans ma méditation matinale, j’ai reçu d’une amie sur un groupe de prière ces paroles qui m’ont fait un grand bien :
Quand tu ne parviens pas à te défaire d’une inquiétude particulière quant à l’avenir, affirme :
Jésus sera avec moi à ce moment et avec son aide, je pourrai surmonter cette période.
Ce qui est vrai pour nos inquiétudes du lendemain, est tout aussi réelle pour nos maladies, nos craintes de la maladie.
La suite du texte était tout aussi intéressante et disait :
Puis reviens dans le présent, où tu peux jouir de ma paix et de ma présence.
Ce qu’il y a d’intéressant dans cette petite méditation, c’est que l’Éternel ne nous empêche pas de nous projeter dans le futur, mais Il nous recommande de Le visualiser dans ce futur, mais surtout de revenir dans notre présent avec notre maladie, nos douleurs, nos souffrances et de continuer de croire en Sa Paix et Sa présence avec nous.
La suite de notre réflexion est un véritable acte de foi. Dans le livre du prophète Esaïe, il est écrit :
Esaïe 53.5
Il a été blessé à cause de nos péchés, brisé pour nos iniquités ; il a souffert pour que nous eussions la paix, et par sa meurtrissure nous avons été guéris.
Version Samuel Cahen
Comment croire, qu’avant même la venue du Messie sur notre terre, qu’était déjà annoncé que ce dernier nous apporterait la Paix et que nous serions guéris par Ses meurtrissures.
Avons-nous foi en notre Dieu ?
Sommes-nous conscients que nos maladies sont déjà supportées par Le Messie et qu’Il nous en décharge ?
Dès lors, ce n’est que notre foi qui nous donne la guérison. Je le dis et le répète, il ne s’agit pas pour moi de vous amener à vous défaire de la médecine et les prescriptions médicales ou médicinales, toutes les deux, pour les avoir expérimentées, fonctionnent. Ce que je dis, c’est que nous ne devons aucunement attribuer une quelconque guérison à notre médecin, notre guérisseur ou quelconque autre qu’à notre Sauveur. C’est Lui qui a déjà porté nos souffrances et nos maladies. Que nous puissions à notre tour avec Lui, dans Sa Paix, vaincre les œuvres déstabilisatrices de l’ennemi. sur notre foi.
Après avoir reçu aujourd’hui cet enseignement, que nous reste-t-il à faire ?
Nous l’avons évoqué, il s’agit d’un acte de foi pour être guéri avant tout. Et si cela est encore difficile pour nous à reconnaitre ou accepter, Il nous a laissé cette recommandation associée à cette promesse :
Matthieu 28.19,20
Allez, instruisez toutes les nations, baptisez-les au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit,
leur enseignant à garder tout ce que je vous ai commandé ; pour moi, je suis tous les jours avec vous jusqu’à la fin du monde.
Version Oltramare
Le baptême que nous avons pour certain reçu correspond à notre acception de notre mort en Jésus. Et cette mort est ce qui nous permet de jouir de la guérison par Les meurtrissures, les blessures du Messie.
Ne nous reste donc par la foi et dans Sa Paix à dépasser ce que nos maladies et croire dans notre présent en Sa présence à nos côtés dans le présent tout comme dans notre futur.
