Faites donc mourir vos membres qui sont sur la terre, la fornication, l’impureté, la passion, le mauvais désir et l’avarice qui est une idolâtrie.
Colossiens 3.5
Version Lausanne
Faire mourir ses membres
Nous avons vu hier que de nombreux conflits ou divergences d’opinion ou de religion ont amené certains pays à soit annexer, soit prendre possession de territoires qui leur sont plus ou moins frontaliers.
Si hier, nous avons évoqué la situation en Palestine, c’était sans savoir qu’on aurait eu à parler encore de cette guerre entre ces deux pays.
Par moment, je ne puis m’empêcher de me mettre à la place de notre Dieu Créateur, voyant Ses créatures s’entre-tuer ainsi.
En prêtant attention également dans nos pays respectifs, il est évident que nos jeunes aujourd’hui ne considèrent la vie des autres comme ayant une quelconque importance.
Je suis moi-même déjà perturbé par la mort d’un proche ou comme je l’évoquais hier, par l’injustice de manière générale.
Le Créateur pourtant dans Ses ordonnances et directives nous invite pourtant à nous garder d’ôter la vie de nos congénères.
Ôter la vie à des animaux est déjà assez pénible et difficile. De ce point de vue, je comprends tous ceux qui défendent la cause animale et pousse à ne pas commettre de crimes aux animaux, que ce soit pour l’alimentation ou pas.
Que n’avons-nous pas compris dans les recommandations, les lois divines ?
Au sujet de la protection des animaux, si je n’ai trouvé de texte indiquant clairement que l’homme doit se garder de faire du mal aux animaux, le livre du sage dit ceci :
Proverbes 12.10
Le juste a le souci du bien-être de ses bêtes ; mais les entrailles des méchants ne connaissent pas la pitié.
Version Bible du Rabbinat français
Ce texte indique plutôt de manière claire que nous devons nous soucier des animaux et laisser la maltraitance de ceux-ci aux méchants.
De manière un peu plus subtile, il nous est dit dans le livre de l’Exode, il est dit :
Exode 23.12
Durant six jours tu peux faire tes affaires, mais au septième jour tu te reposeras, afin que se reposent ton bœuf et ton âne, et que le fils de ton esclave et l’étranger reprenne des forces.
Version Samuel Cahen
Dieu se soucie ainsi du bien-être des animaux que l’homme utilise pour l’aider. Il veille à ce que ces animaux ne soient continuellement utilisés et reprennent des forces.
Si Dieu donne une telle importance aux animaux, qu’en est-il pour l’homme lui-même ?
Que recommande-t-Il pour les humains ?
Avons-nous moins ou plus d’importance que ceux-ci ?
Dans l’Évangile de Luc, il nous est dit ceci :
Luc 12.7
les cheveux mêmes de votre tête sont tous comptés. Ne craignez point; vous valez mieux que beaucoup de passereaux.
Version Oltramare
Aux yeux de Dieu, nous avons plus d’importance que ces passereaux. Le Seigneur d’ailleurs nous déclare par la bouche de Son prophète Esaïe ces paroles :
Esaïe 43.4
Parce que tu es précieux à mes yeux, honorable, et que, moi, je t’aime, je donnerai des hommes en échange de toi, et des peuples en échange de ta vie.
Version Auguste Crampon
Si l’être humain a une telle importance aux yeux du Créateur, nous devons nous garder d’ôter la vie à nos frères. Il dit et donne ce commandement qui me semble être toujours d’actualité :
Exode 20.13
Tu ne tueras point.
Version Darby
J’entends parler de nouveau de ce que ces politiciens refusent d’appeler l’Euthanasie. L’Euthanasie, pour rappel, est le fait de mettre fin à la vie d’une personne sans souffrance, soit par la médication, soit naturellement.
Pour éviter les divergences avec les représentants religieux, ces hommes politiques ont choisi d’appeler cela en des mots bien plus policés :
L’assistance à la fin de vie
Que les textes soient plus policés ou non, ne s’agit-il pas de mettre fin à la vie de l’homme ?
On peut longuement débattre de ce sujet, et celui qui en parle a lui-même eu à batailler avec les représentants du corps médical pour qu’ils ne mettent fin à la vie de Sa mère.
Mais à un certain moment, je le disais aussi hier, il y a des combats, des luttes que nous devons laisser à Dieu. Pour ma part, j’ai du avant qu’elle ne soit débranchée, lui dire et aussi à Dieu que j’avais fait tout ce qui était en mon pouvoir pour qu’ils ne fassent mourir celle qui m’avait donné la vie, celle qui est membre de ma famille.
On ne peut jamais savoir avant les raisons qui poussent nos dirigeants à vouloir mettre fin à la vie d’autres être humains.
Ils font tout ce qui est en leur pouvoir pour sauver des vies, mais en même temps détruisent d’autres.
Je ne puis rien faire d’autre que de recommander à Mon Dieu, non seulement la vie de ces personnes auxquelles on ôte la vie, mais surtout remettre entre les mains du Tout-Puissant Créateur ceux qui commettent ces crimes.
Plutôt donc que de lutter contre ces hommes, Je demande à Dieu la force de combattre ces péchés en Moi qui Me tuent et Me privent de la vie.