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Réflexion du jour
Question de race

Ce roi, usant d’artifice contre notre nation, traita durement nos pères, jusqu’à leur faire exposer leurs enfants, afin qu’ils ne fussent pas conservés en vie.

Actes 7.19
Version Ostervald

De la race du Roi des rois

Une partie de nos territoires sont issus de conquêtes et d’occupations de terre et parfois même de crime contre les premiers occupants communément appelés autochtone.

Ces derniers temps pullulent à mon sens des conflits d’occupation de territoire déclaré comme étant occupé.

Depuis la date du 7 octobre, une lutte, une guerre est lancée contre le peuple des territoires occupés de la Palestine et précisément de Gaza.

Si là, il s’agit de réponse à des actes déclarés terroristes, il n’empêche que ce territoire, occupé par les Israéliens, est pilonné par les forces israéliennes qui détruisent de nombreuses vies.

Nous avons pourtant eu de nombreux exemples dans l’histoire de l’humanité, où les occupations, les colonisations ont entrainé de nombreux massacres.

Pourquoi ces histoires passées ne nous amènent pas à nous reconstruire et changer de mode de vie ?

Nous avons il y a plus de 200 ans joui de l’abolition de l’esclavage et aujourd’hui même en Guadeloupe est commémoré cette date de la libération du pays Guadeloupe de cette oppression.

Nous aurions pu penser en être définitivement débarrassé, mais la réalité est toujours là.

Ces erreurs se répètent visiblement dans le temps et l’histoire. Même quand des accords pour pacifier les relations entre habitants du pays, il perdure malheureusement toujours une lutte de classe ou encore de race.

Pourtant, il est écrit dans la déclaration des droits de l’homme ceci :

Article 1er : Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune

Article 2 : Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression

J’ai malheureusement l’impression que ces déclarations, conçues pour être universelles et être appliquées à l’ensemble de la nation, ne sont que des écrits.

Je prête toujours, de loin une attention à ce qui se passe sur l’archipel de la Kanaky, et me rends aussi compte, que malheureusement, ce territoire est, lui aussi, occupé.

Pourquoi nos races restent-elles aussi présentes dans nos décisions, dans nos fonctionnements ?

Est-ce ce que Le Créateur veut pour Ses créatures ?

Ne sommes-nous pas censés être des frères ?

Je suis à peine rassuré de savoir que ces fonctionnements, existaient même dans les temps anciens. Il est dit dans le livre des Actes des apôtres :  

Actes 7.17-19

Mais, lorsque vint le temps où devait s’accomplir la promesse que Dieu avait faite avec serment à Abraham, le peuple s’accrut et se multiplia en Égypte,
jusqu’au moment où s’éleva en Égypte un autre roi, qui n’avait point connu Joseph.
Ce roi, employant la ruse contre notre race, maltraita nos pères, et les contraignit à exposer leurs nouveau-nés, pour les empêcher de vivre.

Version Synodale

Sans pour autant pousser à la révolte, à la rébellion, ayant encore récemment vécu une période de trouble comme celle-ci en Guadeloupe, malheureusement toujours pour les mêmes raisons d’égalité de traitement.

Les écritures disent pourtant :

Matthieu 23.8

Pour vous, ne vous faites pas appeler Rabbi, car vous n’avez qu’un seul Maître, et vous, vous êtes tous frères.

Version Oltramare

Qui avons-nous pour seul Maître ?

Jésus n’est-Il pas Celui qui nous uni ?

Voilà ce que nous dit Le Seigneur notre Dieu, Notre Roi des rois dans le livre du prophète Jérémie :

Jérémie 32.38,39

Ils seront pour moi un peuple, et je serai pour eux un Dieu.
Et je leur donnerai un même cœur et une même manière de me révérer toujours, pour qu’ils soient heureux, eux et leurs enfants.

Version Samuel Cahen

Le Seigneur a dans Ses plans la volonté de réunir tous Ses enfants. 

Nous pouvons surtout dans ces temps de guerres, de conflits, qu’ils soient religieux ou non, prendre parti d’un côté ou d’un autre. Mais si nous prenons le temps d’écouter notre cœur, nous verrons qu’en prenant parti, nous renonçons et travaillons même contre le plan d’unité de Dieu.

Quelle place donnons-nous dans ce cas à Celui qui mène le combat ?

Participons-nous à la réconciliation ou à la division des nations ?

Notre seule responsabilité dans ces conflits, dans ces batailles et luttes est celle de nous positionner du côté du Messie. Je le disais encore ce samedi, si nous mettons Le Messie devant nous, nous pourrons lutter contre les attaques de l’ennemi.

En effet, notre ennemi, si nous sommes sous la protection de notre Roi des rois, ne pourra tenir face à Lui. De la manière que Jésus l’a vaincu dans la mort, Il continuera de nous défendre contre les assauts de l’ennemi.

Je me permets encore une fois de le répéter, commémorons si cela nous enchante, mais ce que nous devons plutôt faire, c’est de rendre gloire et reconnaissance à la protection et à la victoire qu’Il nous offre sur l’ennemi.

Victorieux par Le Messie