Depuis deux jours, nous échangeons sur la nécessité de mettre, en premier lieu dans notre vie, Jésus. Surtout quand nous passons des moments difficile ou nous sommes amenés à perdre patience.

J’ai personnellement connu cette période pendant laquelle, ne trouvant de réponse à mes prières qui ne cherchaient, je le reconnais, qu’à satisfaire mes propres désirs et non pas honorer ou glorifier Dieu.

À ces instants, il est facile de basculer dans les ténèbres et accepter ce que l’ennemi met devant nos yeux qui nous plaisent et qui nous sont gracieusement offerts par lui.

Là encore, je l’affirme, dans ces moments d’impatience, nous avons la nécessité de nous positionner du côté de Jésus et de rester fermement accroché à Lui. C’est notre manque de foi et de patience qui nous poussent à écouter la voix de l’ennemi, nous susurrant les désirs de notre propre cœur.

J’écoutais il y a quelques jours ce discours d’un prédicateur qui disait que notre prière à Dieu ne peut être considérée comme sincère, si au fond de nous, nous connaissons déjà ce que nous attendons de Dieu.

Ce même jour, échangeant avec une connaissance, celle-ci m’indiquait que je devais présenter à Dieu mes désirs, mes souhaits, ma volonté, mais qu’il était surtout capital de surtout me soumettre à la volonté de Dieu.

Je ne sais si vous avez déjà vécu certaines situations compliquées, éprouvantes ou vous entendez une voix vous poussant à passer du côté obscure, voulant pratiquer ce que nous désirons plus que la volonté de Dieu.

Dans les écrits de l’apôtre Jean, il nous est recommandé :

Nous avons ici une indication non négligeable qui nous permet de connaitre quand c’est l’Esprit de Jésus ou si c’est l’ennemi qui nous guide. Dans l’une des méditations que j’ai eu à regarder sur le net, il était dit que nous devrions veiller à ne jamais donner, ouvrir une porte à l’ennemi dans notre vie.

Une amie me disait aussi ces paroles, il y a très longtemps, quand j’ai eu à lui parler des épreuves que je traversais :

Je ne comprenais pas à ce moment ce qu’elles étaient. Nous sommes tellement accoutumés au péché que nous le pratiquons sans nous remettre en question.

Si au début, quand elle m’eut dit ces paroles, je ne les comprenais pas, avec le temps l’Éternel m’a permis de les identifier et dès que je les ai reconnus et Lui ai demandé de m’en défaire, il a créé en moi le dégout pour ces pratiques.

Mais une fois celles-ci délaissées, nous devons veiller à ne plus laisser de portes ou de fenêtre ouverte à l’ennemi.

Aujourd’hui, il y a des mots de passe pour tout type d’accès. On diversifie même les modes d’accès aux données ou aux éléments qui nous sont propres. On trouve en effet des accès par code, par mot de passe, par reconnaissance faciale, par empreinte digitale ou encore par carte à puce. 

L’apôtre Paul nous recommande de ne point donner d’accès au diable à notre univers. Dans son livre aux éphésiens, il dit :

Il convient donc pour chacun de nous de veiller à ne laisser aucune place pour qu’il puisse entrer en nous. Pour l’avoir vécu, s’en débarrasser n’est pas simple. Dieu, m’a ainsi récupéré du chemin des ténèbres pour que Je puisse être rétabli dans Sa grâce et Son Amour, par Jésus.

Il est nécessaire pour nous de toujours marcher dans les pas de Jésus, de toujours rester dans le chemin que Son Esprit nous indique et que nous ne devions point de Ses voies.

Si nous ne reconnaissons pas nos erreurs, nos fautes, les instructions de l’Esprit de Dieu, nous ne pourrons jamais, excepté si l’Éternel nous frappe comme Il l’a fait pour Paul et nous récupère, afin de marcher selon Ses voies.

Aujourd’hui, il nous est permis de ne plus laisser de portes ouvertes à l’ennemi, mais bien de suivre les traces de Jésus et être guidé par Son Esprit qui nous met sur le chemin de la vie.

À lui seul, nous devons ouvrir la porte tel qu’Il le dit dans le livre de l’Apocalypse :

Celui qui frappe à notre cœur, qui nous aime et qui veut notre bien, c’est Jésus. Ouvrons-Lui donc la porte afin qu’Il entre. L’autre par contre, l’ennemi, vient pour voler et détruire ce que nous avons et que lui n’a pas. Nous avons la possibilité par l’Esprit de Dieu de marcher selon la volonté du Père et paraître pure et sans tache par Son Fils, Le Messie.

Le choix est à faire selon notre besoin. Sont-ce les désirs de la chair ou est-ce l’accomplissement de la volonté de Dieu notre préoccupation.

Ne refermons donc jamais la porte sur notre Seigneur et Sauveur, mais plutôt sur l’ennemi de notre âme.