Dans notre réflexion d’hier, A la ressemblance du Père, nous avons pu comprendre que Dieu nous considère comme étant Ses enfants, à partir du moment où nous adhérons à Ses principes et à l’acceptation de Son Fils, Le Messie comme Sauveur.

C’est par la foi que cela peut se faire, non par une quelconque démarche humaine. S’Il nous considère comme étant de Ses enfants, c’est parce que nous avons entamé la démarche de ressembler le plus possible à Lui. Cela ne peut être réalisé, sans que nous reflétions la personne et les attributs du Seigneur Jésus.

Par cette démarche, nous avons choisi d’être semblable au Père, de ressembler au Père et de devenir de véritables images, représentations de Sa personne.

Au début de mes épreuves, j’étais amené à me lamenter et à me dire, que mon Dieu, mon Père, parce que je ne voyais pas s’accomplir mes requêtes, mes prières, qu’Il m’avait abandonné et qu’Il ignorait Mes besoins.

Jusqu’à il y a peu de temps, j’avais encore cette manière de penser et je rejetais, toutes mes souffrances, sur mon Père, le tenant responsable de tout ce qui m’arrivait.

Cette manière de penser, je ne suis malheureusement pas le seul à l’avoir eue. J’entends des connaissances, des croyants, à cause de leurs épreuves dire et répéter que Dieu les a abandonnés.

 Je ne peux les blâmer, ni les condamner pour ces propos, qui à mon sens font mal au cœur de Dieu.

Hier, j’ai reçu cette pensée qui disait : 

Dieu ne t’ignore pas, mais est plutôt occupé à Te préparer

Je n’ai pas compris tout de suite ce que pouvait vouloir dire cette pensée. Mais quand j’ai de nouveau porté un regard sur les épreuves que j’avais endurées dans mon passé et là où je suis arrivé aujourd’hui, j’ai compris à quoi pouvait correspondre le :

à Te préparer

Interrogeons-nous et questionnons-nous :

À cette question, de nombreux croyants de manière triviale répondraient :

À la vie éternelle dans le Paradis Céleste.

Je n’en disconviens pas, mais à la personne qui souffre et qui ne voit la fin de son épreuve poindre, cette réponse ne pourrait apaiser sa souffrance.

Pour être passé par là, ce qui m’a le plus encourager, c’est d’entendre d’autres personnes ayant surmonté les épreuves me dire :

Ce que Tu vis, je l’ai aussi vécu et c’est ma foi en les promesses de Dieu qui m’ont permis de les surmonter.

Il y a de cela deux jours, je transmettais ces paroles d’encouragements à certaines connaissances pour qu’elles puissent être fortifiées. Ces paroles étaient :

Les tempêtes ne viennent pas toutes pour perturber Ta vie. Certaines viennent pour nettoyer Ton chemin.

Ces derniers jours, professionnellement, j’ai eu à passer par des moments difficiles et terribles. Mais la prière pour mon responsable, auteur de mes difficultés se sont très vite réglées, quand l’Éternel a pris les choses en mains. Il nous dit de Lui faire confiance jusqu’au bout.

Je le disais, Dieu ne nous rejette pas, même si parfois, nous le trouvons silencieux. Quand nous sommes victimes d’injustice, nous sommes souvent à crier à Lui et Lui dire, pourquoi laisses-Tu faire Seigneur ?

Il nous arrive même de penser que Dieu accompagne ceux qui nous veulent du mal et les poussent à nous oppresser. Je me suis fait ces réflexions et ses pensées m’ont en effet traversé l’esprit. Mais voilà la réponse qu’Il m’a donné pour apaiser ma colère, ma peine. Il m’a dit :

Le texte répond en un verset à toutes les pensées accusatrices que l’ennemi nous insuffle de sorte que nous soyons amenés à rejeter, définitivement notre Père.

Dans ce passage tiré du livre de mon ami Job, deux promesses sont clairement mises en lumière :

• Dieu ne rejette pas Ses enfants innocents
• Il n’accompagne pas le méchant quand il décide de faire le mal à Ses enfants

J’ai alors compris ce qui suit :

1. Dieu veut que nous-même au travers nos épreuves, nous pousser à ôter de notre quotidien, tout ce qui n’est pas bon en nous faisant en sorte d’être reconnu comme innocent.
2. Il veut également que nous appuyions nos croyances et affermissions notre foi sur les promesses qu’Il nous a faites.

Désormais, quand nous entendrons ces flèches de l’ennemi pour nous pousser à rejeter Le Créateur, notre Tendre Père, gardons à l’esprit que cela n’est pas la volonté de notre Père, mais qu’Il veut que nous puissions apprendre à Lui faire confiance qu’elle que puisse être les circonstances et nos souffrances.

Nous pourrons alors comprendre le sens de cette promesse dans laquelle Il nous dit :

Soyons donc convaincu de Son Amour éternel pour nous et acceptons un instant la souffrance, la douleur, la maladie, Son silence et attester par notre foi, qu’Il ne nous veut que du Bien.