On considère la confiance comme un sentiment de sécurité que l’on peut éprouver pour une personne ou une institution. Cette confiance généralement ne peut laisser place à aucunes discutions, critiques, hésitations, ni aucun doutes ou méfiances.

De nos jours, l’activité d’influenceur intéresse beaucoup de jeunes, qui voient les privilèges du métier en se faisant payer pour valoriser certains produits ou marques au détriment du bon sens et de la vérité.

Beaucoup mettent leur confiance en l’homme et c’est bien là le problème. Je le disais à un collègue, il y a de ça un peu plus d’un an, les hommes mettent leur confiance en l’homme, en des personnalités politiques ou publiques, pensant trouver en eux, en leurs connaissances tout ce qui est nécessaire pour être heureux.

En faisant un petit bilan de nos dirigeants, en portant une analyse détachée de notre affection pour la personne et l’autorité qu’ils représentent, le constat est que notre bonheur ne peut venir d’eux.

Être heureux ne peut venir que de nos propres expériences de vie et non de celles des autres qui vivent pleinement la leur.

Le sage, dans le livre des proverbes, dit ceci :

Si nous analysons ces paroles, on peut déduire une distinction entre bonheur et être heureux.

Le dictionnaire nous donne une définition qui est plus ou moins assez proche des deux mots bonheur et heureux. Il indique que le bienheureux est celui qui bénéficie de signe de bonheur.

Dans les évangiles, est décrit dans le discours sur la montagne, les paroles du Messie indiquant ceux qui sont bienheureux ou heureux.

Dans un sens purement littéral, Jésus indique que les pauvres qui ne sont pas dans l’opulence, possède le royaume des cieux.

Cela laisse déjà entendre que ce ne sont pas les richesses matérielles et terrestres qui nous permettront d’accéder au royaume de Dieu.

Mais en portant un regard un peu plus élargi, je vois dans ces paroles un autre enseignement bien plus intéressant. C’est dans l’évangile de Matthieu que les choses sont précisées. Matthieu précise :

Un pauvre d’esprit peut être identifié comme une personne sans connaissance ni savoir. J’en déduis donc que ce ne sont pas notre connaissance des écritures, notre intelligence à les retenir qui nous donne accès au Royaume.

En analysant, la fin du verset de Proverbes 16, on comprend clairement ce qui nous donne la certitude d’être heureux et d’avoir accès au Royaume de Dieu.

C’est donc notre Confiance en Lui, quelle que soit notre pauvreté intellectuelle ou matérielle qui nous rendra heureux.