La fête de la Toussaint est une fête de la communauté catholique qui a été initialement prévue pour honorer tous les Martyrs, des premiers siècles. En l’occurrence, il s’agissait de se remémorer les souffrances des premiers disciples morts pour leur foi.

Mais comme souvent, de festivités religieuses, on arrive à des pratiques et des cultes obscurs. Ainsi, apparait la veille de la Toussaint, la fête d’origine celte, le 31 octobre, le soir de tous les saints, tiré de l’anglais :  « All Hallows Eve » qui deviendra Halloween.

L’origine de cette fête quant à elle représente la dernière nuit de l’année dans le calendrier Celte et était la nuit du dieu de la mort Samain ou Samhain.

Fêtons-nous donc les Saints, les martyrs ou le dieu de la mort Samain ?

Je ne serais ni donneur de leçon, ni objecteur de conscience, mais je tiens avec la grâce que le Seigneur m’accorde à vous mettre en garde contre ces pratiques, faites pour nous détourner de notre mission.

Servons-nous le Dieu des vivants ou le dieu des morts ?

Il est vrai et plaisant de se faire peur et d’offrir des friandises aux enfants. La plaisanterie de la peur, nous y avons tous eu droit enfants, par les plus grands. On ne peut non plus considérer que donner des bonbons aux enfants, soient une mauvaise chose, mais une bonté.

Cependant, il n’empêche que cette tradition est clairement liée au rituel celte qui voulait que l’on se déguise pour cette nuit de manière à faire peur aux fantômes et d’une autre manière à dédramatiser la mort.

Les fantômes peuvent-ils être effrayé par nos déguisements ?

Que nous recommande le Seigneur ?

Dans son épitre aux Thessaloniciens, Paul nous invite à avoir une attitude irréprochable. Il dit ceci : 

Que jusqu’à la fin il affermisse vos cœurs pour qu’ils soient irrépréhensibles dans la sainteté devant Dieu, c’est-à-dire notre Père, à la venue de notre SEIGNEUR Jésus-Christ avec tous ses saints. 1 Thessaloniciens 3.13

Ce texte nous rappelle l’importance d’être irréprochable dans notre sainteté.

La sainteté est, selon le dictionnaire, le fait de vivre comme un saint. C’est le caractère, la qualité d’une chose, d’une personne qui est consacrée.

Nous considérons-nous comme des êtres saints, comme des enfants consacrés ?

C’est précisément ce que Le Créateur dès le commencement a voulu pour chacun de nous.

Que ce jour, de la Toussaint, soit donc pour chacun de nous l’occasion de nous associer aux saints, pensant à leurs épreuves et leurs souffrances voir à leurs morts.

Préparons-nous en conséquence au retour du Messie qui reviendra avec tous Ses Saints.

Éloignons-nous de ce qui peut paraître plaisant et festif, voué au dieu de la mort, et accrochons-nous aux festivités avec le souvenir des Saints.

1 Thessaloniciens 3.13